Projections
23 Mar22:00 |
27 Mar20:45 |
Georges Franju fait la rencontre d'Henri Langlois en 1934 alors qu’il travaille dans une imprimerie. Deux ans plus tard, en 1936, ils fondent la Cinémathèque française, avec le soutien de Paul-Auguste Harlé et de Jean Mitry. Franju devient en 1938 secrétaire exécutif de la Fédération internationale des archives du film (FIAF). Entre 1948 et 1958, il réalise treize courts-métrages, s’imposant comme l’un des chefs de file du documentaire français et, en 1954, il reçoit le prix Louis Lumière pour l'ensemble de ses œuvres. Ses documentaires se caractérisent par un réalisme sans concession. En tant que réalisateur, on retrouve ce style de mise en scène « distant » dans ses longs-métrages comme La tête contre les murs, ou son chef d'œuvre Les yeux sans visage. Ce dernier est à juste titre considéré comme le chef-d’œuvre du cinéaste.
1962 Thérèse Desqueyroux
1961 Pleins feux sur l'assassin
1960 Les yeux sans visage
1959 La tête contre les murs
1952 Hôtel des Invalides (documentaire)
1949 Le sang des bêtes (documentaire)
1934 Le métro (court-métrage)
Le chirurgien Genessier souhaite remodeler le visage de sa fille Christiane, rendue méconnaissable suite à un accident de voiture, mais pour cela il doit effectuer des greffes de peau qu'il aura prélevée sur des jeunes filles.
Le film sera sous-titré en grec et en anglais.
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